Pour pailler ses vaches limousines, Florian Lacombe utilise une dérouleuse-pailleuse DR 180 PI Latérale de chez ALTEC. Sa caisse pivotante lui permet d’éviter les manœuvres inutiles dans ses bâtiments puisqu’il peut pailler à la fois à droite et à gauche. Il évoque avec nous les points forts de cette machine légère qu’il attèle à un tracteur de 70 CV indiquant 50 années au compteur !

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Bien choisir sa pailleuse : retour d’expérience de Florian Lacombe

À Lautrec, près de Castres, Florian Lacombe, éleveur de veaux d’Aveyron, partage son retour d’expérience sur la pailleuse-dérouleuse DR 180 PI Latérale d’ALTEC. Installé depuis 2018 avec son oncle, il gère une exploitation de 130 hectares avec environ 60 têtes de bétail. Voici les enseignements qu’il tire de l’utilisation de cette machine au quotidien.

1. Adapter son matériel à l’évolution de l’exploitation

Avec l’agrandissement des surfaces et le futur départ à la retraite de son oncle, Florian devait anticiper un travail en autonomie. « Avant, on mettait deux balles par jour à la main, ça prenait jusqu’à 45 minutes rien que pour le paillage », explique-t-il. La mécanisation était devenue indispensable pour maintenir la cadence.

2. Opter pour un modèle simple et efficace

Florian a choisi la DR 180 PI Latérale, une machine pivotante et inclinable. Son objectif : rester simple. « Je voulais une machine basique, sans options inutiles, utilisable avec un vieux tracteur sans électronique. » Le modèle choisi était équipé de série avec un bon rapport qualité/prix, contrairement à d’autres qui nécessitaient des options coûteuses.

3. Miser sur la maniabilité et le confort

Le pivotement latéral permet de pailler à gauche comme à droite sans faire de manœuvres. « Je travaille toujours dans le même sens, même dans des bâtiments exigus. » Florian utilise la machine dans deux bâtiments totalisant 1 200 m², ce qui nécessite deux balles par jour.

4. Réduction du temps et de l’effort

Grâce à la pailleuse, le paillage ne prend plus qu’un quart d’heure matin et soir, contre près d’une heure auparavant. Il peut utiliser un tracteur ancien de 70 CV : « Il est attelé à la machine toute l’année, il consomme très peu. Avec cet outil, c’est le paradis. »

5. Un entretien accessible et un nettoyage régulier

Florian assure lui-même le graissage mensuel et le nettoyage après chaque usage. Pas besoin d’outils sophistiqués : un peu de vigilance suffit pour garder l’équipement en bon état.

En résumé

L’expérience de Florian montre qu’une pailleuse bien choisie peut transformer le quotidien d’un éleveur : gain de temps, moins de fatigue, efficacité accrue et simplicité d’entretien. Une machine robuste, bien pensée, qui s’adapte aux contraintes du terrain et à l’équipement déjà en place.